Cette revue contient des spoilers pour Venom: que il y ait du carnage et Kraven le chasseur . Procédez avec prudence si vous n'avez pas vu ces films.
Plongeons dans l'univers cinématographique des symbiotes et des chasseurs. Alors que les deux Venom: que ce soit le carnage et Kraven le chasseur offrent des sensations fortes, leurs récits divergent considérablement. L'un se concentre sur un partenariat chaotique, l'autre sur une histoire d'origine brutale. Le thread partagé, cependant, est un certain niveau d'exécution décevant qui empêche soit d'atteindre la vraie grandeur.
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Venom: Qu'il y ait du carnage *, malgré sa violence exagérée et ses moments sombres comiques, souffre d'une intrigue prévisible et de personnages sous-développés. La puissance du Symbiote est présentée, mais le récit n'a pas la profondeur pour vraiment explorer son impact sur la psyché d'Eddie Brock. Alors que la représentation de Woody Harrelson de Cletus Kasady est indéniablement captivante, le film ne parvient pas à livrer un arc méchant vraiment satisfaisant.
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Kraven le chasseur *, en revanche, tente une approche plus ancrée, en se concentrant sur la transformation de Sergei Kravinoff en Hunter titulaire. Aaron Taylor-Johnson offre une performance convaincante, capturant les motivations complexes de Kraven et les luttes internes. Cependant, le rythme du film est inégal, et les choix narratifs, en particulier en ce qui concerne les motivations du méchant et le sort ultime, laissent beaucoup à désirer. Les séquences d'action, bien que visuellement impressionnantes, n'ont pas l'impact viscéral qui aurait pu augmenter l'expérience globale.
En conclusion, les deux films offrent des moments divertissants, mais ne répondent pas à leur potentiel. Tandis que Venom se penche sur le plaisir chaotique, Kraven s'efforce d'un ton plus sérieux, mais aucun ne parvient à réaliser pleinement ses ambitions narratives. Les deux quittent le spectateur en vouloir plus, mais peut-être pas de la meilleure façon.